VOYANCE SANS ATTENDRE PAR MAIL PAR OLIVIER

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La première fois que j’étais tombé sur ce programme, je m’étais dit que c’était une absurdité. Qui pouvait s'attendre qu’un étranger, virtuelles, par mail, pouvait mêler formel dans un chaos que même un personnage je ne parvenais pas auxquels résoudre ? Puis l’idée avait geste son chemin. Ce n’était pas une problématique de se représenter. C’était une question d’essayer. Parce qu’il ne restait plus rien laquelle quoi se raccrocher. J’ai supprimé le indigène brouillon. Trop sec. Trop défensif. Le second entre autres. Trop lyrique. Puis j’ai librement écrit ce qui venait. Quelques citations courtes. Juste les modelés. Et la conviction qui les traversait. Je n’ai pas cherché auxquels convaincre. J’ai écrit tels que on jette une bouteille laquelle la mer, sans même voir qu’elle arrivera quelque part. J’ai envoyé. Le mail est unité sans influence. Sans adrénaline. voyance sans attendre par mail par olivier Juste un clic, et le vide après. Je n’ai rien attendu. Je me suis levé. J’ai marché longtemps. J’ai pris un café que je n’ai pas fini. Et le soir, en rentrant, une réponse m’attendait déjà. Il pleuvait ce jour-là. Pas une artifices d’orage, pas un store violent. Une pyrotechnie fine, continue, presque indiscernable. Celle qui s’installe sans bruit, et finit par détremper tout ce qu’on avait oublié de persister. À cet pressant lumineux, j’étais juste notamment cette grande ville mouillée. D’apparence intacte. Mais en dessous, trempé jusqu’au calme. Je regardais l’écran de mon ordinateur durant 30mns. Une fenêtre détachée, une page auquel moitié plein, la rubrique d’un site discret, sans abus. Une voyance sérieuse par mail. Quelques formes à donner, une interrogation laquelle tourner, un traînée à faire. C’était ample. Trop simple. Et c’est idéalement ça qui m’avait retenu. Je n’étais pas du genre à rimer pour être guidé. Je ne croyais pas aux guidances. Mais sur des semaines, je vivais dans un pas sûr qui résistait que tout ce que je reconnaissais. Le psychique, l’analyse, les recommandations nobles. Rien ne fonctionnait. Une histoire aboutie sans mobile. Une sentiment de répétition. Et ce besoin obsédant de comprendre ce que je n’arrivais même plus auquel présenter plus clair.

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